La fine équipe de VOUS mag (Adeline, Sylvie, Géraldine et moi) avons été invitées au Crazy Horse hier soir. Je finis l'interview de Paul Von Borax à Bastille à 20h30 et je file me changer en quatrième vitesse chez moi. Car, non Elsa, le jean/converse c'est pas possible avenue George V. Des escarpins noirs et une robe bustier poussiéreuse plus tard, j'entrais dans la voiture d'Adeline en avalant rapide un yaourt.
On arrive sur les Champs et là, ça fait tout bizarre.
Le mec à l'entrée nous appelle mesdemoiselles, on passe au vestiaire, on s'intalle sur un banc rouge et on hume, curieuses, l'odeur ouatée du cabaret.
Un rideau de paillettes, des fauteuils en velours, des touristes japonais au premier rang et nous.
On nous offre un magnum de Mumm et le show commence.
Derrière le nu en mouvement, c'est une véritable performance de danseuse et d'éclairagiste que nous voyons. Je vous entends glousser. Évidemment, il y a du string, de la dentelle et des perruques roses; évidemment mauvaises et pestes comme des petites sorcières shakespeariennes nous insultions les danseuses de pétasses dès qu'elles montraient leur croupe céleste et leur déhanché provocateur, évidemment c'est du cabaret et donc de l'érotique surfait, mais franchement c'est à voir. Les lumières qui habille les corps, la musique groovy et sucrée, les petites bulles de Mumm qui s'éclatent sur la langue.
7 verres de champagne après, je titubais sur l'avenue en chantant Just Gazing. Et ça faisait beaucoup rire Géraldine.
Elsa
On arrive sur les Champs et là, ça fait tout bizarre.
Le mec à l'entrée nous appelle mesdemoiselles, on passe au vestiaire, on s'intalle sur un banc rouge et on hume, curieuses, l'odeur ouatée du cabaret.
Un rideau de paillettes, des fauteuils en velours, des touristes japonais au premier rang et nous.
On nous offre un magnum de Mumm et le show commence.
Derrière le nu en mouvement, c'est une véritable performance de danseuse et d'éclairagiste que nous voyons. Je vous entends glousser. Évidemment, il y a du string, de la dentelle et des perruques roses; évidemment mauvaises et pestes comme des petites sorcières shakespeariennes nous insultions les danseuses de pétasses dès qu'elles montraient leur croupe céleste et leur déhanché provocateur, évidemment c'est du cabaret et donc de l'érotique surfait, mais franchement c'est à voir. Les lumières qui habille les corps, la musique groovy et sucrée, les petites bulles de Mumm qui s'éclatent sur la langue.
7 verres de champagne après, je titubais sur l'avenue en chantant Just Gazing. Et ça faisait beaucoup rire Géraldine.
Elsa
1 commentaire:
je suis vraiment désolée mais quand on ne sait pas apprécier toute la beautée et la sensualitée aussi grandiose que le crazy horse on ne se permet pas des commentaires inutiles,qui prouvent à quel point tu es dans l'ignorance la plus totale.
et en tout cas ces "pétasses" dansent forcément mieux que les pauvres connes (comme toi) qui se permettent de les critiquer par jalousie ou par connerie.
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